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Le proviseur — Partie 1
Elle se sentait mal, elle avait chaud, elle tournait la tête de-ci de-là, dans cet état particulier où, pendant le sommeil, deux mondes se côtoient : celui du rêve et celui de la réalité. Dans le premier, elle se vivait entièrement nue, enchaînée à une table de jardin, au beau milieu du parc public de la ville. Les chaînes lui faisaient mal. Elle voulait fuir mais ne le pouvait. Dans le second, sous le drap du lit, sa main essayait de retirer un lien de métal qui lui serrait le ventre. Les songes se rejoignirent, le second prit le dessus.
Elle se dressa brutalement, repoussa les couvertures pour voir qu’elle était vêtue d’une sorte de culotte faite d’une chaîne métallique grise qui lui serrait le ventre et passait entre les jambes. A cet endroit même, gisait un amas de ferraille. Ses mains tremblantes détaillèrent deux gros cadenas de couleur jaune fixés sur la chaîne.
Elle se rappela sa soirée. Elle avait reçu et servi Philippe le second grand copain de son mari (Cf. Contraintes 01 – les deux amis).
Ce dernier était en déplacement professionnel mais, même en son absence, elle devait obéissance à Philippe. Les ordres étaient clairs : « tu lui obéiras à toute heure, en tous lieux, en toutes circonstances, quelque soient les ordres. » Cette volonté de son mari l’avait déjà poussée bien loin. Il avait exigé d’elle la même soumission à d’autres personnes : Francis le vicieux, Jean son dégoutant voisin, Rachid le tenancier de la supérette du coin, et puis Grégoire son ancien collègue qui s’était montré bien vicieux.
Elle comprenait mal pourquoi son mari lui imposait tant de difficultés mais elle était incapable de refuser. Sa raison s’offusquait, sa passion cédait, sa fierté l’emportait.
Elle avait effectué le service du repas entièrement nue à l’exception de talons démesurés. Toujours tête basse en signe de soumission, elle lui avait offert l’apéritif, puis rempli son assiette ; plus tard un dessert glacé et du café. Elle était passée sous la table pendant le repas du maître puis entre ses jambes pendant le café au salon. Elle avait eu mal à la mâchoire à force de le sucer. Elle avait eu faim car il n’avait pas voulu qu’elle mangeât. Toutefois, elle avait eu droit à deux compléments alimentaires : d’abord le foutre de l’homme, autant amer que copieux, puis à un verre d’alcool. Pour elle qui ne buvait jamais, ce fut plus désagréable que le goût du sperme.
Le souvenir de la soirée s’arrêtait là! Elle revoyait vaguement le verre d’alcool, avait l’impression de sentir encore le breuvage brûlant, puis plus rien! Plus de souvenir. Se serait-elle endormie soulée par le tord-boyaux? Philippe l’avait-il mise au lit? Rien. Elle ne se souvenait de rien, le trou noir.
Elle se leva et observa son harnachement. Au niveau du nombril, un cadenas tenait fermées la chaîne du ventre et la chaîne de l’entre-jambes. Celle du ventre était bien serrée, pas l’autre qui pendait entre les cuisses. Pas de clé sur le cadenas. Plus surprenants étaient les deux autres cadenas fixés au milieu de la chaîne et qui trainaient là entre les jambes. Les quelques pas qu’elle fit pour aller à la salle de bain tintèrent des claquements de ces lourdes pièces métalliques entre elles. Elle comprit qu’elles servaient à faire du bruit et donc attirer l’attention.
Philippe! Lui seul avait pu faire ça! Ce grand brutal avait assez de perversité et d’imagination. Elle fouilla la chambre à la recherche des clés. Elle fouilla le séjour, le salon, le bureau. Pas de clés. Elle allait devoir implorer Philippe pour qu’il vienne la libérer.
* Allo!… Maître Philippe? C’est moi… Je… je vais bien oui mais… pourrais-tu me donner les clés, s’il te plaît… je dois partir, j’ai rendez-vous.
* Non, répondit-il calmement.
* Mais Philippe, s’il te plaît! Ne me laisse pas avec ces trucs là, dis-moi où sont les clés. J’ai un rendez-vous ce matin. Je ne peux pas y aller comme ça!
Au moment même où elle disait ces mots, elle se rendit compte de son erreur. Il n’allait pas laisser une telle opportunité s’échapper. « Que je suis conne » pensa-t-elle. Il reprit aussitôt trop content de l’occasion :
* Je n’ai pas bien entendu comment tu m’as appelé! Il me semble que tu as oublié le principal.
* Pardon… maître… maître Philippe… excusez-moi.
* Punition : tu gardes tes chaînes pour ton rendez-vous et en plus tu mets ta jupe écossaise. Tu sais, ta petite jupe rouge? Ca ira très bien.
* Non, pas cette jupe! Elle est trop courte! Ce ne sont pas des gens du milieu, je ne peux pas. Ils connaissent notre famille. On ne pourra plus les croiser!
Il haussa le ton.
* Tu as déjà oublié d’obéir sans râler! Il suffit que ton mari te lâche un peu pour que tu te révoltes! Punition encore. Tu mettras le caraco blanc que tu as porté pour ta leçon de tennis… sans sous-tif. Tu vas les balancer tes mamelles! Suis certain que ton rendez-vous va adorer!
Elle du s’assoir pour accuser le coup. Elle n’aimait pas ce Philippe : trop brutal, trop extrémiste, Dikmen travesti sans pitié mais son mari l’adorait. Il considérait qu’il maniait la domination à un haut niveau de dureté et rendait ainsi la soumission bien plus efficiente, bien plus opérante. Elle devait reconnaître qu’il avait raison car à nouveau elle se trouvait devant ces terribles obligations auxquelles elle ne pouvait déroger.
Elle se souvenait de cette leçon particulièrement humiliante lors de laquelle elle avait joué au tennis quasiment nue. La perspective de sa tenue du jour ne l’enchantait guère, mini-jupe bien trop courte, caraco bien trop collant et chaînes bien trop gênantes.
Le besoin matinal des toilettes se manifesta. Le liquide doré s’éjecta dans la cuve, sur les anneaux, en jets incontrôlables mais l’autre sécrétion s’englua sur les attaches et les cadenas. Si bien que c’est avec un profond sentiment de dégout qu’elle alla se tremper les fesses enchaînées dans la baignoire.
Elle termina sa toilette, se maquilla, mis ses bas auto-fixant noirs et la jupe. « Impossible, pensa-t-elle, je ne peux pas laisser ça! » La jupe écossaise rouge était bien trop courte pour cacher ses bas. Elle enleva donc les bas. Ses jambes n’étaient guère bronzées. Elle mit le caraco blanc. « Quelle misère, ce pull est indécent! Mais je n’ai pas le choix. Salaud de Philippe! » Enfin prête, elle se couvrit de son imperméable pour aller au rendez-vous.
Elle devait rencontrer ALAIN-CLAUDE TREPREUX. Soixante-dix ans avancés, le monsieur était connu sur la place pour avoir été le proviseur du lycée. Quelques bruits disaient qu’il avait apprécié les lycéennes en son temps mais à cette époque les choses restaient tues. Il s’occupait de la bibliothèque municipale à titre gratuit depuis quelques années déjà et sollicitait régulièrement un peu d’aide auprès des administrés. Françoise l’avait rencontré lors d’un dîner entre belles et bonnes familles locales. Elle avait accepté d’aller régulièrement contribuer à la tenue de la bibliothèque : comptes, rangement et parfois permanence.
Dans le parking sous-terrain où elle devait récupérer son véhicule, résonnèrent les talons de ses souliers mais surtout les cadenas qui s’entrechoquaient à chaque pas. Comment allait-elle faire à la bibliothèque? Si elle reportait son intervention ou si elle modifiait la tenue ordonnée, Philippe le saurait et ne manquerait pas de la punir. Il était terriblement dur et intraitable pour appliquer une punition encore plus épouvantable. Elle ne pourrait même pas avoir le secours de son mari, tout aussi sévère. Elle devait obéir.
Elle poussa un cri en s’asseyant dans sa voiture car deux cadenas pincèrent les chairs tendres des fesses. Les deux verrous se plaçaient de manière incontrôlable et rendait la position assise très inconfortable, voire douloureuse. Elle bougea le fessier au mieux pour limiter la gêne.
Philippe s’était mis en tête d’enchaîner Françoise. L’idée lui était venue en se baladant dans un magasin de bricolage où Il avait eu la fulgurante image d’une culotte de maillons métalliques. Avec soins, il avait choisi les deux pièces qui constitueraient la culotte. Quant aux cadenas, c’est plus tard qu’il en eut l’idée ; il fallait qu’il rendît le port de l’outil parfaitement gênant, douloureux, humiliant. Il avait donc choisi deux gros cadenas supplémentaires. La veille au soir, il lui avait suffit de droguer le verre d’alcool pour disposer tranquillement du corps inconscient.
Il comptait bien garder les clés quelques jours, jusqu’au retour du mari : « il appréciera cette innovation » pensa Philippe. Il n’avait évidemment pas imaginé que dès le lendemain elle aurait à se rendre à sa bibliothèque et cela le mettait déjà en en état d’érection. « Je me demande comment elle va se débrouiller avec sa jupe ultra courte! »
Il avait connu le mari de Françoise dans une soirée SM et tout de suite, ils avaient sympathisé. Après deux ou trois sorties ensemble, Philippe avait reçu la proposition de disposer de Françoise à volonté.
* A volonté?
* Oui, à volonté. Il faut que tu comprennes : elle ne doit pas avoir de temps morts, de temps libres de contraintes, de temps sans peurs, de temps sans ordres. Je veux qu’elle soit perpétuellement en alerte. Seul, avec mes obligations professionnelles, je ne peux pas y arriver. Alors, sois mon second.
* Des limites?
* Une seule, avait répondu le mari : qu’elle n’ait pas de plaisir!
Alors, il en avait déjà bien profité et comptait continuer. D’autant plus qu’elle était une parfaite victime : réservée, timide, pudique. Et ce qu’il appréciait par-dessus tout était de la mettre dans des situations impossibles comme celle qu’il imaginait à la bibliothèque.
Elle ne trouva pas de place pour se garer devant l’établissement, à 11 heures toutes étaient prises. Aussi, se gara-t-elle assez loin. Elle dut parcourir à pieds le chemin jusqu’à l’entrée. Des passants se tournèrent vers elle aux curieux cliquetis qu’ils entendaient. C’était pénible de marcher avec son Dikmen travestileri attirail. Les cadenas l’obligeaient à avoir les jambes un peu écartées ; la chaîne s’insinuait tant entre les fesses qu’entre les lèvres. Dans l’entrée de la bibliothèque, elle ralentit le pas pour diminuer les cliquetis.
* Bonjour Françoise, s’écria Alain-Claude TREPREUX, comment vas-tu? Je suis content que tu sois venue, nous avons du travail. Viens dans mon bureau que je t’explique.
* Eh… Excuse-moi, Alain-Claude mais je n’ai pas beaucoup de temps aujourd’hui. Je ne vais pas rester.
Elle venait de trouver ce stratagème pour obéir à Philippe et en même temps éviter toute humiliation : être venue certes mais sans rester. Après tout, il n’avait pas ordonné qu’elle restât longtemps!
Le directeur s’offusqua de cette remarque ou fit mine de s’offusquer. Ancien surveillant, il avait une autorité naturelle dont il usait avec délectation. Il savait que Françoise était sensible aux ordres. Il avait noté qu’elle rougissait facilement et même qu’elle avait tendance à baisser la tête dès qu’il était un peu sévère. Ca l’amusait beaucoup d’en jouer, d’autant plus qu’il appréciait les charmes de la belle, tellement au dessus des rombières du secteur.
* Ah non! Pas question que tu partes alors que nous avons du travail. Je t’interdis de partir! Suis-moi.
Comme d’habitude, dès qu’elle recevait des ordres, elle ne pouvait résister. Elle avait l’impression qu’un courant électrique la transperçait, comme le vertige qui remonte des pieds au ventre. Le premier à avoir compris cela avait été son mari. Ils entrèrent dans le bureau, pas très grand, en désordre. TREPREUX s’installa sur son siège tournant. Il aimait cette place où il retrouvait son passé. Il avait lui-même ramené le fauteuil-ministre pour se donner de l’importance. Il attendit un moment avant de parler, avant de l’inviter à s’assoir. Il savait qu’en se comportant ainsi, il imposait son pouvoir. Il contemplait la fille qui restait debout mains dans les poches et qui rougissait peu à peu. Il enfonça le clou de l’autorité.
* Bon, tu es décidée à m’aider? Assied-toi!
Toute résistance avait disparu. Elle obéit et prit place sur la chaise de bois devant le bureau. TREPREUX s’étonna de la voir s’assoir en conservant son imperméable. Il s’étonna plus encore du bruit de ferraille qu’il entendit même si elle s’était assise avec précautions. Toutefois, il ne dit mot.
Il expliqua qu’il fallait enlever les bouquins qui trainaient dans son bureau pour les ranger sur les étagères. Il n’avait plus de place pour recevoir les clients. Il n’expliqua pas qu’il avait bien envie de voir la fille monter à l’échelle pour atteindre les seules places encore disponibles sur les rayonnages du haut. Sûr de son pouvoir, il ordonna :
* Va me chercher un café à la machine!
* Oui Alain-Claude, tout de suite, s’entendit-elle répondre presque machinalement, comme s’il était normal qu’un administrateur donne des ordres aussi brusques à un volontaire dans une association.
Lorsqu’elle quitta la pièce, il jeta un œil par-dessus ses lunettes pour apercevoir une jambe découverte par la fente arrière de l’imperméable. Se pouvait-il qu’elle ne porte pas un pantalon ou une longue jupe? Habituellement, elle venait à la bibliothèque en tenue très stricte, BCBG, presque chaste. Il entendit encore les bruits métalliques, tout étonné et à la curiosité exacerbée. Elle revint quelques instants plus tard avec une tasse qu’elle posa à côté de TREPREUX, il ne dit même pas merci. Elle allait s’assoir quant il réagit :
* Tu comptes passer ta journée avec ton imper? Il ne fait pas froid ici. Enlève-moi ça tout de suite!
Le ton autoritaire qu’il venait encore de prendre le fit bander. Elle hésitait.
* J’ai dit tout de suite, affirma-t-il sans la regarder!
Il portait son café chaud aux lèvres lorsqu’elle se leva et laissa tomber son imper. Il faillit s’étouffer, cracha du café sur son bureau tant elle le surprit. Devant lui, un pull léger blanc était distendu par deux seins aux pointes proéminentes ; une jupe très courte rouge s’arrêtait au haut de deux longues jambes complètement nues ; des souliers noirs la perchaient d’indécence.
* Oh putain! Qu’est-ce que tu fous dans cette tenue? T’es superbe!
* Je… je suis désolée. C’est à dire… je dois… excuse-moi!
Dans cette situation de trouble partagé, elle posa ses fesses sur la chaise en bois sans prendre garde à la culotte de métal. De surcroit, comme l’imperméable n’étouffait plus les bruits, un boucan d’enfer laissa TREPREUX complètement ahuri.
Il se ressaisit rapidement comprenant qu’il tenait là un événement exceptionnel. Jamais il n’avait vu Françoise ainsi vêtue, ainsi honteuse. Il faillait qu’il en profite.
* Françoise, commença-t-il, tu rends-tu compte de ce que tu fais dans un lieu public comme celui-ci? Ta tenue est inacceptable! Explique-toi!
* C’est-à-dire, Alain-Claude… je… je dois m’habiller… comme ça. C’est un… ordre… Travesti dikmen Je suis désolée, ce n’est pas de ma faute.
* Tu te fous de ma gueule, dit-il en élevant le ton? Tu veux me faire croire que tu es obligée de t’habiller comme une pute! Fais-moi voir ça! Mets-toi debout! — Il criait presque – Tu n’a même pas de bas, même pas de soutien-gorge! Cochonne!
* Pardon… je ne suis pas une… c’est mon mari, il est… autoritaire. Il aime des tenues comme ça et… j’obéis.
* Tu veux me faire croire que c’est ton mari qu’il t’ordonne de t’habiller en pute? Et bien je vais l’appeler, on verra.
* Non, ne l’appelle pas, eh… aujourd’hui, ce n’est pas lui… c’est… c’est Philippe.
* Philippe! C’est qui celui-là? Qu’est ce qu’il vient foutre dans l’histoire?
* C’est un copain de mon mari et…
* Et QUOI? Accouche!
* je… je dois… lui obéir.
* Quoi? tu obéis à un autre type que ton mari?
* Oui Alain-Claude… aux deux, répondit-elle toujours debout, tête basse.
TREPREUX qui s’était levé de son siège de ministre pendant l’explication s’y reposa lourdement comme s’il avait sur le dos le poids de la révélation. Sa cervelle fonctionnait à grande vitesse. « Cette garce obéit à deux mecs. Y en a peut-être d’autres. Faut que je sache. Faut que j’en profite. »
* Explique-moi ça, ordonna-t-il
* Et bien, j’ai accepté d’obéir à mon mari et…il est très… pervers… Il aime les tenues.
* D’accord, j’avais compris, lança TREPREUX sèchement mais Philippe pourquoi?
* Eh… mon mari a dit… à son copain… je dois obéir à son copain.
* C’est tout? T’es bien sûre?
* Eh… non… à toute personne… je dois obéir… à toute personne qui ordonne.
* Redis-moi ça!
* Je dois obéir à toute personne qui ordonne, finit-elle par lâcher.
* Ah! Ok, je comprends! Tu ne voulais pas le dire, ma salope. Tourne-toi!
Le rebondi des fesses remontait la petite jupe à l’indécence et il vit pendre entre les jambes d’intrigants éléments jaunes. S’approchant, il releva la jupette et découvrit les deux gros cadenas. Il siffla d’admiration. « Ce sont de sacrés vicieux » pensa-t-il.
Sans préavis, sans autorisation, il se mit à triturer les fesses en les prenant à pleines mains. Il écarta la chaîne ventrale pour atteindre le clitoris qu’il frotta fortement. Elle avait du mal à résister, d’autant moins quand une main s’insinua sous son pull et massa un gros globe et en tira et roula le téton très en avant. Après quelques instants, pour accélérer l’orgasme, elle serra les jambes comme une forcenée sur les doigts profondément enfoncés.
Mais alors que le plaisir ultime allait venir, l’homme retira ses mains et laissa la fille pliée en deux, essoufflée, rouge écarlate, les yeux dans le vague. Elle émergea du précipice et se rendit compte qu’en quelques mots et quelques gestes, TREPREUX l’avait amenée au bord du plaisir. Il était vieux mais il savait y faire. A croire qu’il connaissait les règles qu’elle subissait avec son mari pour ne pas lui donner un orgasme.
* Redresse-toi, trainée! Mains sur la tête!
Bouche bée de surprise, elle obéit. La jupe remonta un peu, les tétons crevèrent le pull.
* Jamais, au grand jamais, je n’ai eu d’élèves aussi cochonnes que toi en 20 ans de carrière. Jamais je n’ai eu de petites salopes qui se promènent cul nu. Vraiment, ça mérite des heures de colle et une belle fessée!
Pour la première fois de sa vie, Alain-Claude TREPREUX allait vivre son fantasme : fesser une écolière.
* Pose tes grosses miches sur mon bureau… Oui… Avance un peu… Tes mains devant… Ecarte tes pieds… Compte!
La main droite s’abattit tel un battoir de lavandière sur la chair blanche de la fesse droite. Elle poussa un cri de surprise et de douleur…. 1… 2…. 3… Ce n’était hélas que le début. L’homme prit confiance et conscience de sa force. Il l’augmentait à chaque passage… 10… 11… 12… Elle serrait les dents, luttait pour ne pas crier, pleurait de douleur. Il frappait à intervalles irréguliers pour qu’elle ne puisse pas se préparer au coup suivant. 32… 33… 34… Le cul passa rapidement du rouge au mauve… 57… 58… 59… Il cessa enfin, la main douloureuse, essoufflé à son tour… 69… 70…
* Redresse-toi, à genoux!
Il avait reprit sa place dans son fauteuil ; elle était, juste devant lui ; il se masturbait. Soudainement, il laissa partir le jus sur le visage de Françoise alors qu’elle devait garder les mains sur la tête.
Il moqua le visage maculé avant d’ordonner d’un doigt directif :
* File au coin… Mains sur la tête… Tu tournes lentement sur place… Sans arrêter… Allez… T’es sourde ou t’es bouchée?
Elle suivit son doigt pour aller dans un coin du bureau, une grande étagère à sa gauche et la fenêtre à sa droite. Elle obéit, piétinant lentement sur elle-même, tout en présentant ses fesses ou sa chatte, sous le feu des regards du proviseur, sous le feu de son cul brûlant.
Elle se rendit compte que TREPREUX n’avait pas fermé à clé la porte du bureau. N’importe qui aurait pu entrer pendant leurs ébats. Il est certain que l’on frappait avant d’entrer mais quand même! Elle pensa aux deux permanentes, Thérèse et Christiane, qui seraient révulsées devant un tel spectacle. Elle osa :
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