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Jennifer Ch 1
Le dépucelage de Mademoiselle Emerson
Classroom conquest III (Black Demon)
Assis au second rang Dwight Nelson regardait la prof inscrire sur le tableau la so-lution du problème. C’était la seconde année qu’il fréquentait la classe tenue par cette ravissante prof toujours si élégamment habillée. Le seul problème qu’il se posait était :
– “Comment pourrai-je bien faire pour me la sauter?”
mais il savait qu’il n’avait aucune chance de coucher avec elle, du moins en em-ployant les voies normales. Cependant il aimait rêver que la jolie jeune femme soit attirée par ses charmes
Au collège Wilson, tout le monde considérait Dwight Nelson comme un pauvre type, un handicapé social.
Il se situait dans la marge basse de la classe en Education Physique, et ne se maintenait dans cette classe que grâce à ses capacités intellectuelles bien supé-rieures à la moyenne.
Des aînés aux plus jeunes tout le monde se moquait de lui. Lorsque les cours commencèrent, cette année un arrogant étudiant blanc fit l’erreur de le brutaliser pour impressionner les jeunes filles de première année, il avait arraché les livres des mains de Dwight et les avait lancés dans la poubelle, obligeant Dwight à se ridiculiser pour les reprendre.
Ce jeune athlète, inscrit de fraîche date, ignorait que Nate Thompson, le muscu-leux joueur de foot américain, était le meilleur ami de Dwight, son protecteur. Il pesait 125 kg et était une des vedettes de l’équipe de football.
A eux deux ils alliaient force et intelligence et formaient une étroite paire d’amis depuis la maternelle. Dwight aidait Nate dans ses études, et Nate protégeait Dwight des brutalités des collégiens qui se montreraient violents à son égard..
L’année précédente, un joueur de baseball fit l’erreur fatale de ridiculiser Dwight devant ses coreligionnaires, cet élève postulait pour une bourse, il devait l’obtenir s’il se montrait aussi performant que l’année précédente, malheureusement, avec un bras cassé, une mauvaise fracture, on ne peut pas prétendre réaliser une bonne saison sportive.
Comme l’infortuné athlète qui venait de lancer les livres de Dwight dans la pou-belle, il ne sut jamais qui l’avait agressé. La seule chose qu’il savait c’est qu’il gi-sait par terre, les lèvres fendues, trois dents cassées, il avait alors entendu une voix grommeler :
– “Si touches à un seul cheveux de Dwignt, ou si tu le brutalises à nouveau, tu ne pourras plus bouffer que de la purée….”
Une seconde plus tard, il vomissait tripes et boyaux après avoir reçu un coup de pied dans les couilles. La mâchoire fracturée, tenue par des broches, le jeune athlète était bien incapable d’intégrer l’équipe de basket.
C’était assez surprenant de voir un couple d’amis si dissemblable, Dwight ne s’in-téressait qu’à la lecture, ils se réunissaient principalement lorsque Nate avait be-soin d’aide pour faire ses devoirs, ce qui arrivait presque tous les deux jours.
Ils habitaient deux immeubles voisins, et Dwight était habituellement si solitaire que ses parents s’étaient réjouis quand ils avaient vu qu’il avait un véritable ami, étrangement, ils riaient avec les camarades qui se gaussaient de leur paradoxale amitié Dwight se referait à son ami l’appelant : – “l’athlète noir muet” alors que Nate se moquait de son pauvre visage boutonneux de blanc.”
Athlète talentueux, Nate avait beaucoup d’admiratrices au collège, alors que Dwight n’avait jamais fréquenté de fille, et que cela n’entrait pas ses projets.
Nate cherchait à convaincre son ami de se lancer, et de ne pas se tracasser parce qu’une fille lui tournait le dos.
Un soir, alors qu’une fois de plus il cherchait à convaincre Dwight de draguer les filles, il lui demanda :
– “Y-a-t-il une fille dans le collège qui te donne la trique?”
Voyant son ami hocher la tête, il se demanda qui ce pouvait bien être ça deman-dait une petite enquête …. “
Alors que Dwight l’aidait à solutionner son problème de math, Nate le poussa du coude, l’interrogeant sur le nom de sa dulcinée …..Il voyait que son copain était très embêté.
– “Allons Dwight ….Tu sais que ça restera entre nous …. Dis-moi qui te fait bander…..”
Grinçant des dents, ayant besoin d’exprimer son amour pour son adorable prof, Dwight allait le dire à son seul et unique ami.
– “D’accord Nate ….Mais tu me jures que ça restera entre nous, et que per-sonne n’en saura rien ….. “
Le voyant hocher la tête en signe d’approbation, il hésita quelques secondes, puis se lança :
– “La seule qui me fasse vraiment bander , c’est …. Mademoiselle Emerson …..
Ebahi parce qu’il venait d’entendre, Nate regardait son ami les yeux vides, il lui demanda de confirmer :
– “Mademoiselle Emerson?…… Ta prof de maths?…..”
Dwight murmura un oui misérable, effaré Nate retomba dans son fauteuil et soupi-ra profondément.
Il avait déjà croisé la jolie mademoiselle Jennifer Emerson dans les couloirs du collège, mais il ne l’avait jamais approchée d’assez Üçyol travesti près pour avoir la trique à sa vue.
Il n’avait jamais fréquenté ses classes et ne les fréquenterait jamais, elle n’exer-çait que dans les classes accueillant des surdoués.
Nate ne se moqua pas de Dwight, un jour qu’il était convoqué au bureau du prin-cipal, il passa par les couloirs et s’arrêta pile en face de la salle de classe de ma-demoiselle Emerson, elle était assise à son bureau, ses longues jambes sexy croisées l’une sur l’autre, il vérifia que personne ne l’observait, il se rua alors sur la porte et toqua pour l’attirer au dehors, elle se leva découvrant largement ses cuis-ses qu’il put mater, et vint ouvrir la porte pour voir qui avait toqué, mais Nate était déjà reparti.
– “Bordel, Dwight…. Elle est drôlement baisable ta prof….C’est pas une de ces stupides minettes avec lesquelles on baise facile ……J’ai pas plus de chance que toi de m’la faire ……As-tu vu qu’elle porte une alliance… Comme c’est là elle va bientôt épouser un de ces poseurs de blanc ……Et t’aimerai te la faire bien sûr ….. cette salope ……..”
Bien qu’entêté, Nate était incrédule.
Maintenant qu’il avait dévoilé son secret à son seul et unique ami, Dwight voulait lui en dire plus.
– “Je rêve d’elle chaque nuit depuis que je l’au vue l’année dernière dans sa classe. Elle … Elle, je ne pense qu’à elle quand je suis en classe, … et le soir dans mon lit…” commenta-t-il pour son ami.
– “J’aimerai qu’elle voit en moi un homme ……pas un élève …… Ou un pauvre type …..” continua-t-il rêveusement.
– “Eh mon gars … Fais attention où tu mets les pieds …..Tu ne pourras jamais la baiser ……Tout ce que tu risques c’est de te faire virer ….. Tu n’es qu’un de se élèves …… Tous les élèves se payent une de ces triques quand ils la croisent …..La salope, ce que j’aimerai passer la nuit dans son lit …….Mais pour ça faudrait l’enlever … La violer …..Oublie ça mon ami ……” lui conseilla finalement son copain.
C’était la deuxième année que Jennifer Emerson effectuait, elle était chargée de la classe des surdoués et prenait cela comme un honneur.
Agée de 25 ans, elle était toute excitée à l’idée d’épouser Tim Harrington son amour des années collèges. Sa licence d’enseignement en poche, elle avait été toute surprise d’être contactée par le principal du lycée pour prendre en main la classe des surdoués.
Au départ cela l’effrayait un peu d’enseigner à un niveau bien supérieur à celui du collège. Ce genre de poste fort bien rémunéré, était rarement proposé à un débu-tant, pour l’enseignant chargée de ces élèves qui sortaient de l’ordinaire, c’était une attestation de sa compétence, mais le principal du lycée était un ami de son censeur et il l’avait chaudement recommandée. C’était le pourquoi de cette propo-sition.
Elle fut convaincue en apprenant qu’elle n’aurait affaire qu’à de jeunes étudiants sérieux et doués, qu’elle n’enseignerait que dans les classes d’élite. On n’y trou-vait pas de drogués ou d’élèves grossiers encore moins des fauteurs de troubles. Cette constatation du principal la mit à l’aise et elle accepta le poste espérant y obtenir la qualification idoine pour enseigner à ce niveau.
Jennifer mettait un point d’honneur s’habiller élégamment, elle voulait se montrer professionnelle jusqu’au bout des ongles. Elle savait d’expérience, elle l’avait maintes fois constaté dans ces années collège, que les hommes se sentaient atti-rés par elle, elle en avait parfois joué, s’habillant de façon parfois un rien sugges-tive. Tout le monde la complimentait sur sa beauté, mais ces compliment l’embar-rassaient, elle en était assez peu friande.
Sa beauté naturelle avec ses longs cheveux bruns faisait tourner la tête des hommes, beaucoup pensait que elle était modèle de mode, ce qui lui aurait d’ail-leurs assez plu. Dans l’exercice de ses fonctions, elle s’habillait élégamment mais de façon très classique, parfois même sévère.
De toute manière quoi qu’elle porta elle charmait l’oeil de ses étudiants et des membres de l’équipe éducative. Elle était si absorbée par la préparation et la te-nue de sa classe qu’elle ne prêtait aucune attention aux regards concupiscents qui se posaient parfois sur elle.
Comme les cours se terminaient à la mi-juin, elle espérait épouser son futur fin juin. Ces deux dernières années, Tim travaillait dans une ville éloignée, leurs rela-tions se bornaient à des échanges téléphoniques, et aux rencontres du week-end.
Maintenant que Tim avait obtenu son transfert, ils avaient pu fixer la date des no-ces, ils avaient même consacré une somme assez importante à l’achat d’un petit pavillon dans la banlieue.
On arrivait à la troisième semaine de mai, et Jennifer voulait voir les travaux à ef-fectuer dans leur pavillon aussi vite que possible, ils en avaient pris possession la semaine précédente, et avaient déjà acheté un tas de fournitures, ils avaient de-mandé leur livraison à la mi juin à l’issue Üçyol travestileri de l’année scolaire.
Jennifer considérait que le début des vacances formait un moment privilégié pour prendre possession d’un nouveau domicile.
Time devait retourner à son ancien appartement pour faire ses bagages et prépa-rer son déménagement, en fait Tim avait accumulé certains achats à son domicile et il fallait maintenant les rapatrier.
Comme Tim terminerait son déménagement à la mi juin, elle avait décidé de faire ses propres préparatifs ces trois week-ends.
Elle se sentait excitée, à la vue des nombreux articles qu’elle avait déjà emballés, elle se félicitait d’avoir loué un camion de déménagement et demandé à un de ses étudiants de l’aider.
De retour dans sa chambre, Nate se moqua un peu de son ami et de ses envies luxurieuses. Il voulait le convaincre qu’il n’avait aucune chance de tirer la jolie prof et qu’il fallait l’obliger à affronter la réalité.
– ” Navré mon ami, mais il ne te reste qu’à rêver d’elle la nuit, comme on es-père un bon dessert.”
– “Mais bordel, fais face mon ami, tu n’as aucune chance de seulement te re-trouver seul avec la ravissante demoiselle Jennifer Emerson, pas plus que d’autres d’ailleurs! ……”
Dwight sourit tout excité :
– “Bon , je vais te dire ….. hier, mademoiselle Emerson a demandé si quel-qu’un voulait gagner une paire de dollars le prochain week-end, apparem-ment elle déménage dans un pavillon de banlieue qu’elle a acheté pour y vi-vre avec le type qu’elle épouse … J’ai sauté sur l’occasion et je me suis pro-posé pour l’aider. Bien sûr je n’ai aucune chance de me la faire ……Mais je suis tout excité rien qu’à l’idée de me trouver seul avec elle toute la journée! …”
– “Ca alors …..tu vas être tout seul avec ta ravissante prof!…… ” s’exclama Nate ébahi.
Il ne se serait jamais attendu à ce que son malheureux copain prit l’initiative de proposer son aide, ce qui allait lui permettre de rester seule avec sa belle prof! Secouant la tête avec incrédulité Nate ne parvenait pas à le croire, mais Dwight avait l’air sérieux. Il lui demanda :
– “As tu préparé un plan? …”
Dwight haussa les épaules lui répondant :
– “Tu … Tu penses qu’elle me giflerait si je tentais de l’embrasser! ….”
Il soupira, sachant que son copain avait raison, il n’avait aucune chance de se la faire, il révéla :
– “Je rêve toujours d’embrasser ses lèvres si douces, puis de glisser mes mains sous son corsage pour jouer avec ses jolis tétons! … Et une fois que lui aurai caressé les seins, elle me laisserait lui sucer la chatte et nous fe-rions l’amour!….”
– “Si t’essayes de l’embrasser, elle t’arrachera les yeux Dwight ….” le prévint Nate.
Il ne voyait pas comment l’aider, mais il sentait sa queue s’ériger à l’idée ce qu’ils pourraient faire avec la jolie prof de maths.
Son copain était mal embarqué, il y avait un large ravin entre ses rêves et la réali-té, il ne pouvait l’en blâmer, lui aussi aimerait bien se la faire …
Il cherchait comment son copain pourrait profiter de cette journée seule avec la jolie prof pour concrétiser ses rêves. Peut-être bien qu’il existe un moyen d’en pro-fiter tous les deux! ….
Il réfléchissait.
– “Hey, Dwight …Est-ce que tu veux vraiment te faire mademoiselle Jennifer Emerson? ……Si oui, je connais bien un moyen sur de la baiser …….” l’in-forma Nate.
Dwight s’était figé, il fixait Nate les yeux écarquillés, ce dernier ajouta :
– “Tu vas te livrer à un travail physique pour l’aider à déménager …… Un mo-ment donné, elle t’offrira sûrement un rafraîchissement …..pendant une pause … Quand elle sera distraite, tu glisses une pilule dans son verre, ça l’assommera ou tout au moins ça sapera sa résistance. “
– “Tu penses à la …. A la violer!….” demanda Dwight effrayé par la proposi-tion de son ami.
– “Je veux lui faire l’amour, c’est sur …… Mais de là à la violer! ….”
– “Enfin si tu veux te la faire …… il suffit de corser sa boisson ….Mais je ne sais pas ou trouver une drogue … Crois-tu que je puisse l’acheter en phar-macie? ……” s’enquit-il.
Nate secoua la tête.
– “Avec tes connaissances tu crois que je pourrai en trouver? ….”
– “Mais bordel, y’a plein de dealers dans cette foutue école, tu peux te procu-rer tout ce que tu veux en rodant dans les couloirs …..Mais tel que je te connais, tu t’adresserais à la mauvaise adresse et tu te ferais casser ……Allez, je vais m’en occuper ….mais j’aurai aussi le droit de me la faire en second …..Je vais te dégotter une drogue qui va l’assommer totalement, ça va être d’enfer tu pourras la baiser tout ton saoul, éveillée et sans lutte. Imagine là se tortillant sous tes assauts quand tu lui mettras ta bite dans la chatte …….T’en fais pas copain je lui maintiendrais les bras immobiles, comme ça elle ne pourra pas t’arracher les yeux et tu pourras la baiser dans son petit trésor!…..”
Et, Travesti üçyol le week-end suivant, Dwight se présenta à l’heure juste au rendez-vous de Jennifer Emerson, poliment il salua la ravissante jeune prof.
Il suivait ses instructions, emportant les cartons étiquetés de la chambre à la porte d’entrée. Cette tache effectuée, ils firent de même avec les paquets qui encom-braient la salle de bain, puis ils chargèrent la camionnette. Enfin ils démontèrent quelques étagères qu’il faudrait remonter dans le pavillon.
Alors que Dwight travaillait à son rythme, Jennifer s’affairait fiévreuse-ment,emplissant de nouveaux cartons, cherchant à déterminer les choses dont elle pourrait se passer plusieurs semaines.
Puis le téléphone sonna, Jennifer répondit. C’était le magasin où son fiancé et elle même avaient commandé des fournitures,
– “Ok, c’est d’accord, livraison le mercredi 18 juin, c’est noté ….vers 10 heu-res, bien je serai là …..ce sera parfait, ainsi tout sera terminé pour le 21 …..l’adresse … Oui c’est ça ….355 rue du port … Dites à votre livreur que la maison est beige avec des volets brun sombre.”
Comme tous les intellectuels, Dwight avait toujours un stylo et un carnet sur lui, mademoiselle Emerson avait pris le coup de téléphone dans la chambre pendant qu’il empilait les caisses dans la salle de séjour,
Saisissant son stylo et son carnet, il nota l’heure, le jour et l’adresse de livraison. Dwight était si anxieux qu’il n’avait même pas remarqué la tenue habituelle de la jeune prof, au lieu des tenues ultra classique qu’elle arborait au collège, dans son appartement elle circulait pieds nus, ses longues jambes dépassant d’une courte jupe, s’en rendant compte Dwight se sentit tout excité, sa queue frémissait dans son pantalon.
La jolie mademoiselle Emerson portait un chandail, avec une courte jupe bleue clair et un corsage, Dwight avait bien du mal à décoller les yeux de ses pieds nus et de ses longues jambes. Une heure plus tard, elle posa une main sur son épaule, suggérant de faire une pause en buvant un coca.
Assis à même la carpette, le dos appuyé contre le mur, Dwight sirotait son coca. Ebahi, il vit mademoiselle Emerson prendre son coca et venir s’asseoir à ses co-tés, sur le tapis.
Il nota qu’elle s’y prenait habilement pour s’asseoir, plissant sa jupe contre ses jambes, pour ne rien révéler de son intimité.
Ils récupéraient ainsi cote à cote, Dwight aurait bien aimé que dans un coup de folie elle lui tombe dans les bras, ce qui lui aurait permis de raconter à Nate que tout était consommé.
Ils discutèrent à bâtons rompus pendant quelques minutes, elle le questionnait sur ses intérêts hors travaux scolaires, elle semblait vraiment s’intéresser à lui et juste au moment où il allait lui confier ses désirs, le téléphone sonna à nouveau, il la regarda se ruer dans la chambre pour répondre à l’appel, abandonnant son coca sur la carpette.
– “Salut chéri ……Je te manque tant que ça …..j’espère que tu reviens ce week-end …”
l’entendait Dwight répondre au téléphone, à cet instant le plan concocté avec Nate lui revint à l’esprit, à l’entendre discourir avec son bien-aimé au téléphone, il comprit qu’il n’avait aucune chance de se la faire autrement qu’en suivant le plan de Nate, il prit donc la pilule que Nate lui avait remis plus tôt, et il la glissa dans la boite de coca de mademoiselle Emerson.
Puis il la secoua brièvement pour faciliter la dissolution de la pilule dans le breu-vage épais avant de l’amener à mademoiselle Emerson, conversant avec son fiancé, assise sur le lit.
Sirotant une lampée de son coca, il tendit sa boite à mademoiselle Emerson, elle lui sourit en remerciement tandis qu’il repartait continuer sa tache.
Abandonnant mademoiselle Emerson dans la chambre, il se rendit dans la salle de bain, hors de vue de la belle.
Coeur battant la chamade, il se dirigea tout droite vers le carton de vêtements sa-les qu’il avait remarqué plut tôt.
Il ouvrit le couvercle et jeta un oeil sur le contenu, le carton contenait des petites culottes roses, des soutiens-gorge et encore d’autres sous-vêtements. Il prit un des soutiens-gorge, et la main en cloche sur le bonnet il apprécia la taille des seins de la belle.
Drapant le soutien-nibard sur le carton il prit alors une soyeuse petite culotte rose., la portant à ses narines, il inhala fortement se régalant des flagrances inti-mes de la jolie prof, puis il lécha avidement le fond de la petite culotte.
Jennifer écoutait Tim lui préciser ce qu’il faisait, quels effets il emballait.
– “Oui, l’élève dont j’ai loué les services m’aide à démonter les étagère du salon et de la salle de bain, je vais emmener le plus possible de cartons ce week-end.
Ce garçon me donne un bon coup de main, je suis contente d’avoir loué ses ser-vices ….”
Mademoiselle Emerson aurait été bien étonnée en voyant le garçon si réservé se branler dans une de ses petites culottes.
Ayant juté dans la petite culotte de sa prof adorée, Dwight retourna dans la salle de séjour d’où il pouvait surveiller la chambre.
Il se remit à bander instantanément au spectacle de ses longues jambes dénu-dées, tout à la conversation avec son fiancé, Jennifer ne prenait pas garde à ce que sa position révélait de ses charmes.
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