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LES MALHEURS AVEC PLUSIEURS ADOLESCENTS
Un mardi matin, peu avant midi, M. Christophe convoque sa soumise et feint de la féliciter :
– Je suis très content de la façon dont tu as travaillé durant ce mois, même si tes compétences sont toujours aussi limitées dès que tu sors du seul domaine dans lequel tu excelles.
Tu as bien mérité un peu de repos. Comme ton homme part une semaine à partir de samedi soir, je te donne congé jusqu’au vendredi. Tu es au repos. Tu n’iras donc pas chez Marcel. Je viendrai par contre chez toi, dimanche matin. Tu seras à nouveau en congé lundi. Mais de mardi à vendredi, soit quatre jours, même si tu ne viendras pas au travail, tu devras néanmoins participer à un séjour à l’extérieur. Je ne t’en dis pas plus. Sache que je suis très déçu que ton compteur à bites, qui reste toujours bloqué à six queues, n’ait pas augmenté ces dernières semaines. Mais tu auras bientôt l’occasion d’atteindre la dizaine. Tu es contente au moins?
– Oui, Monsieur. Votre salope vous remercie.
– De rien, voyons! Je ne veux que ton bonheur! s’esclaffe-t-il.
Quittant plus tôt que prévu l’usine, Sophie profite des quelques jours de répit ainsi offerts. Même si les propos de son patron ne sont pas de nature à la rassurer.
Pour se changer les idées, elle se distrait en faisant un peu de shopping et achète des vêtements sages. Ce qui tranche avec les tenues que son supérieur l’oblige à porter. Avant qu’elle ne parte, son Directeur lui a remis un colis contenant le même micro bikini, mais cette fois de couleur noire, que celui utilisé lors de la randonnée champêtre. Elle devra l’enfiler dimanche matin, à partir de 9h30 précises. Le reste de la semaine, elle se consacre à cajoler son compagnon, ayant tant à se faire pardonner, minée par les choses horribles qui lui sont imposées…
Le dimanche arrive, malheureusement trop vite. L’assistante aimerait que le temps s’arrête. Dès 9h50, la sonnette de la maison retentit et, comme demandé, elle s’en vient ouvrir, presque dévêtue, la porte d’entrée. A sa grande surprise, son boss n’est pas seul : il est accompagné d’un garçon dont l’âge dépasse à peine les seize ans.
Elle reste bouche bée, aucun son ne pouvant sortir de sa gorge.
D’un air joyeux, son chef l’interpelle : – Bonjour! En voilà une drôle de tenue pour m’accueillir! Tu as chaud? Au fait, tu as remarqué : je ne suis pas venu seul. Je te présente Marc Foleau. Tu dois certainement le connaître! C’est un jeune qui habite dans ton village, pas loin de chez toi! Tu nous fais rentrer? Je t’en prie, montre-nous le chemin!
Sans un mot, elle se retourne et précède l’homme et l’adolescent qui, après avoir aperçu une magnifique poitrine quasiment dénudée, découvre, les yeux ébahis, les jolies fesses de la secrétaire. Celle-ci, qui souhaiterait rentrer sous terre, s’arrête dans le salon et, leur faisant face afin de masquer, du mieux qu’elle peut, son derrière largement dévoilé, propose à ses deux invités surprise de s’asseoir. Le patron l’arrête :
– Non, non! Pas la peine de te déranger! Nous ne restons pas! Comme tu es seule en ce moment, je me suis dit qu’un petit coup de main pour t’aider ne serait pas de refus! Vois-tu, Marc, qui est un garçon travailleur, se fait un peu d’argent de poche en tondant les pelouses chez plusieurs personnes du voisinage. Il viendra demain en début d’après-midi pour couper l’herbe. Cela te fait plaisir au moins, ma chère?
– Oui, Monsieur.
Son supérieur poursuit la conversation, en regardant cette fois l’adolescent : – Je t’avais bien dit qu’elle serait heureuse de ton offre de service. N’oublie pas de venir avec ton meilleur copain, celui qui t’assiste à chaque fois. Vous verrez que ma subalterne qui, aujourd’hui et pour une fois, est habillée, se balade souvent toute nue dans sa maison. Et plutôt que de vous donner de l’argent, si vous vous occupez bien de sa pelouse, elle vous laissera ensuite brouter son gazon en vous offrant un cours pratique d’éducation sexuelle. Les jeunes hommes l’excitent au plus point. Hein, Sophie?
Traumatisée, celle-ci s’exprime de manière quasi inaudible : – Oui, Monsieur.
Son Directeur insiste : – Je n’ai pas entendu ta réponse!
– Oui, j’aime les beaux adolescents!
– Et bien, parfait! Tout est réglé alors! Nous ne t’embêterons pas plus longtemps. Au fait, demain, n’oublie pas : toute nue! Ne sois pas gênée par la présence de tes futurs amis.
L’assistante passe sa journée en pleurs. Jusqu’à présent, elle a été Ümraniye travesti avilie comme jamais elle ne l’a été dans sa vie. Mais là, dans l’ignominie, on atteint des sommets. Je vais devoir avoir des relations sexuelles avec deux mineurs! pense-t-elle. Toute la nuit, elle cherche en vain le sommeil, s’endormant seulement au petit matin. Elle se réveille un peu avant midi, à la suite d’un appel sur son mobile. C’est son chef :
– Bien dormi? Je suis sûr que tu as été excitée toute la nuit. N’est-ce pas, petite fille perverse?
– Oui, Monsieur.
– Tant mieux! Quand ils auront fini, n’oublie de leur donner ce que tu leur as promis. Tu les emmèneras dans le lit conjugal, en les précédant dans l’escalier et en bougeant bien ton cul. Ensuite, tu les aideras à explorer tes trois trous. Et tu feras comme pour les autres qui t’ont baisée : tu seras vulgaire, tu jouiras et tu les remercieras! Et ne faillit pas où il t’en cuira. J’ai demandé à Marc de tout me raconter ce soir.
– Oui, Monsieur.
– Tu n’aurais pas oublié quelque chose?
– Votre salope vous dit grand merci.
– Parfait! Amuse-toi bien! Dernière fois : tu les inviteras à te tutoyer, tandis que tu les vouvoieras. J’aime quand tu restes à ta place et que tu conserves les bonnes manières que je t’ai appris.
Durant tout l’après-midi, pendant que les enfants tondent la pelouse, Sophie déambule, sans aucun vêtement. Il apparaît que l’ami de Foleau n’est guère plus âgé que celui-ci. Sans doute dix-sept ans. La subordonnée n’espère même plus voir la fin de cette spirale infernale qui, chaque jour, l’enfonce un peu plus dans la déchéance.
Elle est soudain tirée de ses pensées. La sonnette vient de retentir. Elle va ouvrir dans le plus simple appareil. Ce sont les deux jeunes, venus sans doute chercher leur récompense!
– On a fini, Madame! Alors, voilà, c’est pour ce que vous nous avez promis…
– Bonjour, Messieurs. Jetant un œil pour voir si personne n’est dans les environs, la collaboratrice les invite à entrer rapidement, avant de poursuivre : – Vous pouvez m’appeler par mon prénom, vous savez, et me tutoyer. Après tout, vous êtes là pour vous amuser avec moi, conclut-elle dans un sourire forcé, qui masque sa profonde tristesse. Respectant les consignes données, elle les précède, en exagérant fortement le mouvement de ses hanches. Sa démarche est chaloupée et invite au sexe.
Agenouillée devant les deux garçons, qui se sont assis sur le lit matrimonial, elle commence par dégrafer chaque pantalon et entreprend de sucer les deux queues déjà dressées. Elle est surprise par la taille et la grosseur de celles-ci, dont les dimensions sont plus que respectables.
Une fois les deux bites bien dures, l’adjointe entreprend de poursuivre sa fellation sur Marc, qui s’est allongé au milieu du lit. Elle sent derrière elle l’autre gamin, dont elle ne connaît même pas le prénom, poser son gland sur ses lèvres vaginales et, après plusieurs tentatives infructueuses, introduire la totalité de son sexe dans la chatte sans défense. Ne pouvant se retenir, les adolescents éjaculent rapidement.
Mais leur jeunesse les rend vigoureux, aussi passent-ils tout l’après-midi à baiser la pauvre secrétaire qui, contrainte, simule des orgasmes et les encourage comme une chienne en rut :
– Allez-y, Marc, mettez-la-moi dans le cul. J’adore ça! Puis s’adressant à l’autre garçon : – Vous voulez que je vous suce une nouvelle fois? J’aime avoir une pine dans ma bouche!
Vers 17h de l’après-midi, après avoir s’être vidés de leur dernière goutte de sperme, les deux jeunes prennent congé. Une heure plus tard, le mobile de Sophie retentit :
– C’est ton maître, ici! Tu les as bien contentés, visiblement! Pour demain, tu prépareras une valise. Tu t’en vas jusqu’à vendredi soir. Prends uniquement des vêtements très légers : les trois débardeurs ainsi que les shorts que tu as achetés, et le micro bikini blanc. Tu prendras ta voiture, vêtue d’une minijupe et d’un chemisier de ton choix. Pas de sous-vêtements durant les quatre jours. Tu iras chercher Marc chez ses parents.
Rassure-toi, ceux-ci sont partis. Il t’attendra avec ses amis. Ne sois pas surprise : comme ils sont tous en congé scolaire, ils se rendent dans la seconde résidence du père de l’un d’eux. Il paraît que c’est magnifique : un chalet au fond d’un grand jardin, avec une belle piscine. Tu les aideras à charger leurs bagages et les victuailles.
Voici l’adresse. Tu dois être là-bas Ümraniye travestileri à 8h30.
Tu les conduiras dans la propriété, qui est située à environ deux cents kilomètres. Durant le temps passé là-bas, tu veilleras bien sur eux. Et tu obéiras sans discuter à Marc, comme si c’était à moi. Tu as bien compris? Et surtout, as-tu retenu toutes mes instructions? Je t’en ai donné beaucoup, et comme tu es bête, j’ai peur que tu en oublies…
– J’ai bien compris. Merci pour ce séjour, Monsieur.
– Tu es heureuse de voir ton compteur à bites augmenter? Vendredi soir, tu auras dépassé la dizaine, onze très exactement, dont cinq jeunes queues. N’est-ce pas une vie de rêve?
– Oui, Monsieur, je suis très contente.
Et sans s’éterniser davantage, M. Christophe raccroche au nez de sa subalterne, à nouveau en pleurs. Cela ne s’arrêtera jamais! Cela ne s’arrêtera jamais! se désespère-t-elle.
Après une nouvelle nuit des plus agitées, la femme, tourmentée comme jamais, arrive devant la maison des Foleau. Au moins, pense-t-elle, mes vêtements sont encore plus ou moins décents. Toute la petite troupe, ayant chargé le coffre de la voiture, s’installe dans un joyeux brouhaha. Heureusement qu’il s’agit d’un monospace d’occasion, se dit l’auxiliaire. Sinon, comment aurais-je pu caser les gamins et leurs bagages!
Le trajet se passe tranquillement, la secrétaire parlant peu, concentrée sur la route. De temps à autre, Marc lui adresse un petit sourire ironique. Au détour de la conversation entre les garçons, elle apprend les prénoms de ceux-ci et leur âge : Arthur, seize ans ; Dimitri, dix-sept ans ; et enfin Kylian, seize ans, dont le papa est le propriétaire de l’endroit où ils se rendent. Cinq minutes avant d’arriver, Foleau interpelle l’adjointe du Directeur : – Hein, Sophie, que tu aimes les jeunes mecs?
– Oui, Marc, j’adore!
Un peu interloqués par la question posée et la réponse donnée, les trois autres passagers observent un silence un peu gêné. Fort heureusement, la voiture se gare devant le chalet, et les esprits se portent sur le déménagement des valises et des provisions.
La villa compte trois chambres, une salle de bain et un vaste espace salon-cuisine-salle à manger complètement ouvert. Il n’y a pas d’étage. Il n’en demeure pas moins que la bâtisse, pour une maison de vacances, est très spacieuse et accueillante.
Les cinq personnes se répartissent les chambres : la conductrice, soulagée, se retrouve seule dans l’une d’entre elles, tandis que Marc et Arthur partagent la même pièce à coucher, tout comme Dimitri et Kylian. Elles sont relativement grandes et contiennent chacune un lit pour deux personnes et une armoire qui sert de rangement.
Après avoir tous pris une collation, les gamins envisagent la suite de l’après-midi. Kylian prend la parole :
– Bon, les gars, il est 14h. Il fait chaud, le soleil brille. On ne testerait pas la piscine de mon vieux?
Foleau intervient immédiatement : – Super idée, mec! Sophie, pendant qu’on nage, tu ne viendrais pas près de nous? Il y a un espace suffisant pour que tu prennes un bain de soleil! Allez, on se retrouve dans dix minutes! Et tous en maillot et en bikini!
Retournée dans sa chambre, la nymphette se rend compte de la situation dans laquelle l’entraîne volontairement Marc. Espèce d’ordure! pense-t-elle. Le sale petit con!
Les adolescents batifolent tandis qu’elle se change et enfile son micro bikini. Heureusement que le père n’est pas là! Si celui-ci voyait la tenue avec laquelle je vais me baigner, ce serait catastrophique! soupire-t-elle. Ce faisant, elle s’approche de la porte d’entrée. Avant de sortir, elle s’arrête, surprenant la discussion des quatre gamins, qui sont tous dans le plan d’eau. Marc mène la conversation :
– Une comme ça, les gars, on n’en voit que dans des films pornos, et encore pas dans n’importe lesquels. Quand vous l’aurez vue à peine habillée, avec la paire de miches qu’elle a, vous aurez compris! Et si elle se retourne, vous pourrez aussi voir ses fesses! Mais surtout, il ne faudra rien dire à personne. Cela évitera bien des ennuis. Compris?
L’employée, le feu aux joues, sort enfin. Les adolescents sont estomaqués de la voir ainsi vêtue. Arrivant comme si elle n’avait rien entendu, elle s’installe sur la serviette de bain qu’elle vient d’étendre sur la pelouse, à environ deux mètres du rebord de la piscine. Couchée sur le ventre, elle a conscience de montrer l’intégralité de Travesti ümraniye son cul à de très jeunes hommes. Déjà, Foleau l’interpelle malicieusement :
– Sophie, tu vas bientôt cuire dans cette tenue! Heureusement, j’ai apporté de la lotion solaire. Que dirais-tu si Dimitri et Kylian venaient t’en passer un peu sur ton dos et sur ton postérieur?
– C’est une bonne idée, Marc, répond-elle.
Les deux gamins ne se font pas prier et déjà, en s’agenouillant chacun d’un côté, versent à tour de rôle de la lotion sur la peau douce de la secrétaire. Puis ils frottent la chair, en prenant tout leur temps. Chacun s’attarde sur les globes fessiers de l’assistante, les massant. Foleau, vicieusement, reprend alors la parole :
– Les liens risquent de laisser des traces. Or, je pense que tu souhaites un bronzage intégral, non?
– C’est vrai, Marc, répond-elle, anéantie.
Alors, les deux garçons entreprennent de dénouer le fin nœud qui, dans son dos, retient le haut, et ensuite les sangles qui, de chaque côté des hanches, maintiennent le bas.
La beauté naturelle, sur les coudes, est contrainte de se lever légèrement, toujours allongée sur le ventre, afin de faciliter l’enlèvement de son deux-pièces. Désormais sans le moindre vêtement, elle sent que Dimitri lui écarte les fesses tandis que Kylian verse de la lotion solaire sur son anus, descendant même afin d’en passer sur sa fente.
L’adjointe du Directeur constate, horrifiée, les deux érections qui distendent le maillot des adolescents. Ceux-ci, satisfaits du spectacle proposé, retournent dans le bassin.
Une demi-heure plus tard, Foleau reprend l’initiative : – Sophie, tu vas brûler si tu restes toujours du même côté! Il est temps de te mettre sur le dos. Que penses-tu si cette fois Arthur et moi venions te mettre de la lotion afin de protéger l’autre partie de ton corps, afin que ta magnifique poitrine et tes parties intimes soient épargnées par le soleil?
– Vous avez tout à fait raison, Marc.
Alors les deux jeunes font gicler la crème solaire, tandis qu’elle est obligée d’avoir les jambes légèrement écartées, Arthur regarde sa chatte en souriant. Ses seins pâles, presque blancs, sont bien visibles. Ses gambettes sont belles et sexy. Le jeune homme commence par ses pieds et ses mollets, puis lui frotte les cuisses, la forçant à ouvrir celles-ci davantage. Foleau, lui, passe effrontément ses doigts sur son mont de venus, enduisant celui-ci de crème protectrice. La naïade se tortille, laissant échapper un souffle. Ses tétons commencent à pointer, tandis que Marc commence à doigter profondément son vagin. Arthur, lui, masse ses beaux gros seins.
Les deux autres adolescents, qui sont sortis de la piscine, attrapent chacun l’une des jambes de la fille, à hauteur du genou, et les écartent. L’assistante est ainsi totalement accessible. Le reste de l’après-midi n’est qu’une orgie des sens : elle est tour à tour pénétrée par des doigts curieux, obligée de sucer les quatre queues, puis de les chevaucher. Chaque garçon la prend également par son joli petit cul.
Epuisée, elle espère, en fin d’après-midi, en avoir fini. Mais c’est sans compter sur le côté insatiable des garçons. Après le repas du soir, ceux-ci décident que l’adjointe du Directeur n’ira dans sa chambre que pour se changer. Chaque nuit, elle devra la passer dans la chambre des garçons, partageant tantôt le lit d’Arthur et de Marc, tantôt celui de Dimitri et Kylian. Et durant de longues heures, elle est baisée ou enculée, tout en prenant une queue dans la bouche. Pour la subalterne, chaque heure se ressemble. Elle n’est plus qu’une poupée de chair dotée de trois orifices.
Par deux fois, les adolescents se sont amusés à l’humilier en prétextant l’absence de tel ou tel produit : soit un fruit, soit un légume. En leur compagnie, Sophie doit se rendre à l’épicerie du village, vêtue uniquement de l’un de ses shorts en jeans, qui dévoile presque la moitié de ses fesses, et d’un débardeur ouvert sur le côté qui, lui, ne masque rien de sa poitrine. Si la première fois, l’épicier, âgé d’une soixantaine d’années, a semblé apprécier le spectacle, à la deuxième sortie, une dame présente dans le commerce de proximité n’a pas manqué d’adresser à l’employée une vive remarque : – Vous n’avez pas honte de vous exhiber de la sorte devant ces pauvres garçons? C’est scandaleux d’être aussi perverse et vicieuse!
Physiquement exténuée et moralement très déprimée par les nombreuses pénétrations subies et les multiples orgasmes qu’elle n’a malheureusement pas pu contrôler, la subordonnée de M. Christophe est soulagée de pouvoir enfin rentrer chez elle, après avoir déposé devant la maison de Foleau ses quatre amants qui, lorsqu’elle s’en va, lui adressent un simple : – Merci pour tout! Nous nous sommes bien amusés!
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