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RANDONNEE ET SOUFFRANCE 4
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Journée du dimanche
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le matin les hommes réveillés rallument le feu de camp et y font chauffer la gamelle remplie de café, Manon qui n’a pas eu chaud en passant la nuit à la belle étoile est libérée. Elle mange les biscuits et boit le gobelet de café noir qu’on lui tend avant d’être bâillonnée et de nouveau amenée au bord de la rivière dans laquelle elle est jetée.
Tremblante de froid et de retour au campement qui est presque démonté la corde, qui sert à la tenir en laisse et à l’obliger à suivre le rythme des randonneurs, est nouée à son collier et les bracelets qui ne quittent jamais ses poignets sont attachés ensemble.
Les seules choses qu’elle a sur elle ce sont des chaussettes basses et ses baskets gorgées d’eau car elle les a aux pieds quand ils la balancent dans la rivière.
Le groupe se met en route mais ne font pas de pause pendant la matinée ce qui arrange Manon bien que la marche la fatigue, ils ne la sollicitent pas sexuellement.
Jordan décrète que l’endroit qu’ils viennent d’atteindre est propice pour la halte du midi.
Manon qui est toujours bâillonnée est délestée de son sac à dos, elle doit s’agenouiller sur le sol caillouteux et mettre ses bras en arrière, son poignet gauche est attaché à sa cheville gauche puis le poignet droit est attaché à la cheville droite.
Le bivouac est en cours d’installation en bordure d’un bois, Mathias débordant d’imagination annonce que leur souffre douleur va être possédée par la bite du diable, une phrase que ses amis ne comprennent pas.
Il choisit un arbre pas très gros aux branches basses et sort des couteaux pliants de son sac à dos
C’est d’abord d’un couteau scie qu’il utilise pour couper une des branche qui lui semble morte puis se servant d’un autre couteau pour tailler ce qu’il en en a laissé et qui reste toujours solidaire du tronc, il rend l’extrémité plus ou moins sphérique.
il coupe un doigt d’un gant caoutchouc et l’enfile en forçant sur le morceau de bois.
– mes amis voilà la bite du diable, elle est assez longue et assez grosse pour remplir la chatte de la putain –
– super, tu as eu une bonne idée –
Deux hommes libèrent Manon et la tenant par les bras l’approchent de l’arbre, la soulèvent un peu puis ils lui écartent les jambes et la positionnent au dessus de la branche coupée qui va faire office de pénis.
Un troisième homme vient les aider, accroupi et placé de façon à avoir une bonne vue sur le sexe de la putain il écarte les grandes lèvres de la chatte et par des paroles il dirige la manœuvre pour placer l’extrémité du morceau de branche à l’entrée de la grotte dans lequel une grande partie de la verge factice s’enfonce quand ils laissent le corps Manon descendre.
Après lui avoir plaqué le corps et les bras contre le tronc de l’arbre en la penchant fortement en avant ils la saucissonnent..
Elle reste là, les pieds touchant tout juste le sol et évitant de bouger pendant que ses tortionnaires, ne se préoccupant pas de la douleur qu’elle a ressenti pendant la pénétration, s’amusent de la voir ainsi.
La position humiliante et dégradante de Manon avec ce morceau de branche enfoncé dans sa chatte leur donne des envies et chacun leur tour ils se mettent derrière elle et sortent la queue de leur short puis obligés de plier les jambes et parfois en galérant pénètrent et défoncent son anus.
Les yeux fermés, elle pleure et serre les dents sur son bâillon. Elle ne peut que subir pendant les va et vient des pénis qui la sodomisent et chacun leur tour arrosent son fondement de sperme. Deux des bourreaux ne s’arrêtent pas après avoir éjaculé, ils continuent à lui défoncer le cul jusqu’à avoir une deuxième jouissance.
La laissant avec le morceau de branche enfoncé dans sa grotte, ils la nourrissent et la font boire après avoir retiré la boule/bâillon avant de se restaurer eux même. Le repas est constitué d’aliments froids et ne craignant pas la chaleur.
– on a bien compris que tu aimais ça avoir en permanence quelque chose dans le cul mais on a encore du chemin à faire et même si tu vas regretter cette bite on va t’en séparer –
C’est toujours bâillonnée, mains attachées dans le dos et tirée par la corde dont une extrémité est nouée à son collier que Manon est tenue de suivre les quatre randonneurs quelle que soit leur allure quand ils se mettent en route.
Après avoir emprunté un large chemin défoncé par des engins agricoles qui ont creusé d’importantes ornières, Jordan ouvre la barrière d’une pâture qu’ils traversent passant au milieu d’un troupeau de moutons, les bêtes se sauvent et s’éparpillent à leur approche. Le groupe se dirige vers une vieille masure en pierres recouverte de tôles.
Ils lisent un mot qui est placardé sur la porte.
– on va passer la nuit à l’intérieur. Romain n’a pas pu nous attendre, il a caché des provisions sous la paille dans le fond de la pièce en face de la porte. Et il dit qu’il regrette Tuzla travesti de ne pas pouvoir profiter encore du cul de la putain –
Une fois à l’intérieur un homme récupère les victuailles Pendant que deux autres s’occupent de Manon. Couchée sur le sol ses deux chevilles sont attachées ensemble avec une corde qui est ensuite passée au dessus d’une poutre, elle se retrouve pendue par les pieds de façon à ce que sa tête soit à peu près à hauteur du sexe des mâles.
C’est Mathias qui le premier ouvre sa braguette et s’approche de la putain après avoir mis son sexe à l’air, il lui enlève la boule/bâillon.
– c’est l’heure de l’apéritif, suces moi ça et bois ta première dose –
La saisissant par les épaules avec ses mains il approche la femme de son corps jusqu’à ce que la bouche soit en contact de son pénis qui est bien gonflé et raide. Mal à l’aise et avec la tête qui tourne elle ouvre la bouche et laisse la queue pénétrer à l’intérieur.
Pas contrariante et profitant qu’il la tient bien pour éviter qu’elle puisse se balancer au bout de la corde elle fait aller et venir ses lèvres sur la verge pendant que les doigts d’un autre quidam essaient de pénétrer sa grotte et son anus ce qui n’est pas aisé car étant pendue ses cuisses sont resserrées.
Il faut à la prostituée s’activer pendant un petit moment avant de sentir la queue tressauter dans sa bouche puis le sperme y couler, dans sa position la tête à l’envers elle ne peut pas avaler correctement le liquide dont une partie coule sur son visage jusque sur ses yeux et dans ses narines.
Pendant qu’elle suffoque et tousse Mathias se retire, remet la queue dans son short et part en riant et se moquant d’elle.
C’est ensuite Franck qui arrive la verge déjà sortie et en érection et lui procède différemment. Il place sa queue contre les lèvres de la putain puis mettant ses mains derrière le cou de celle-ci enfonce son membre dans la cavité buccale.
C’est lui qui fait se balancer le corps de sa victime pour faire aller et venir la bouche sur son pénis qu’il enfonce au maximum dans la gorge.
Quand il éjacule pour Manon se reproduit le même problème qu’avec Mathias, de la semence s’échappe de sa bouche.
Ensuite c’est le tour de Jordan et pour finir c’est la queue de David qui pénètre dans sa bouche et s’y soulage.
La laissant pendue la tête en bas les hommes s’affairent préparant leurs couchages, ils installent ce qu’ils comptent manger sur une vieille table branlante et allument un feu dans un endroit prévu pour ça et délimité par des pierres à l’extérieur en utilisant des fagots et branchages trouvés sur place.
Le dîner est surtout composé de boites de conserves réchauffées sur le feu de camp. Délivrée de sa position peu confortable et assise sur le sol Manon mange et boit ce qu’on lui donne pendant que les quatre hommes se restaurent debout.
Manon n’étant plus utile, deux hommes l’amènent à l’extérieur et la plongent dans le grand bac en grès qui se trouve à proximité et sert d’abreuvoir pour le bétail. pour une fois l’eau chauffée par le soleil pendant la journée est à bonne température.
C’est au tour de Jordan de la mettre dans la position de son choix pour la nuit et là elle comprend que ses phases de sommeil seront courtes.
A genoux dans l’herbe et le corps en arc de cercle, le ventre en appui sur un très gros rondin de bois, qui doit servir de siège en temps normal, ceci afin que son corps reste en place. elle se retrouve penchée en avant la tête posant à peine sur le sol puis elle doit écarter les bras et les jambes.
Des sardines sont passées dans les anneaux des bracelets en cuir qui ne quittent pas ses poignets et ses chevilles et enfoncées à coups de maillet dans le sol.
– les amis regardez son cul, vous voyez comme sa chatte et son anus sont visibles et accessibles, dans cette position vous allez pouvoir la sauter ou l’enculer facilement –
– ça c’est une trouvaille, tout est à notre disposition, on peut enfoncer notre bite dans n’importe quel trou sans être gêné –
Pendant que ses compagnons apprécient la façon qu’il a choisi pour entraver Manon et bien mettre en évidence sa grotte et son anus, celle-ci se dit qu’au moins dans cette position le nombre de pénétrations sera limité car elle ne pourra pas les remettre en érection en se servant de sa langue et de sa bouche car sa tête se trouve trop près du sol.
Eclairés par une lampe de camping les hommes jouent aux cartes pendant un bon moment et Manon se fait sodomiser deux fois avant qu’ils ne se couchent.
Pendant la nuit à cause de sa position elle ne dort que par intermittences et à chaque fois qu’elle entend la fermeture d’une tente s’ouvrir et une lampe torche diriger son faisceau vers l’endroit où elle se trouve elle sait ce qui va se passer. Elle ne cherche pas à savoir qui vient se soulager dans son corps quand sa chatte et son cul sont pénétrés puis défoncés et arrosés de sperme.
Lundi matin
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Franck retire le bâillon qui ne quitte que rarement Tuzla travestileri la bouche de Manon puis il lui sert du café et des biscuits, ensuite l’ayant de nouveau bâillonnée il l’amène jusqu’au bac en grès qui dans la pâture sert pour les troupeaux qui y paissent et est rempli d’eau. Arrivés au bord de l’abreuvoir il l’empoigne puis la soulève et la balance dedans, elle tombe à plat ventre dans l’eau.
Après l’avoir laissée un peu barboter dans le liquide pas bien chaud l’homme lui demande d’en sortir ce qu’elle ne peut faire que difficilement ayant les poignets entravés ensemble.
Dégoulinante elle tremble transie de froid, pendant qu’il la ramène au campement qui est en cours de démontage. Il libère ses poignets.
– à genoux, approches tes mains de tes pieds, je vais te les attacher ensemble –
Les randonneurs s’affairent pendant un moment, une fois tout rangé dans les sacs à dos il est un peu plus de 7h quand le groupe est près à se mettre en route mais Manon est toujours à genoux les chevilles et poignets liées ensemble.
– Franck c’est à toi de décider, comment veux tu faire avec la putain –
– on va confectionner une barre de portage avec une branche assez solide pour la trimballer comme on le ferait avec un gros gibier, attachée et en se relayant deux par deux pour la porter –
Aussitôt dit aussitôt fait, deux hommes se dirigent vers des bosquets en bordure du pré, une grosse et assez longue branche d’arbre est rapidement coupée puis une fois qu’elle est libérée de ses liens et qu’obéissante elle s’est couchée sur le ventre les chevilles de Manon sont entravées ensemble, ses poignets sont également attachés ensemble.
La branche est passée entre ses bras puis entre ses jambes. Deux hommes soulèvent l’ensemble, la putain décolle du sol puis ses porteurs posent les extrémités de la branche sur leurs épaules et se mettent en route.
Pendant qu’ils marchent subissant les inégalités du chemin Manon est secouée. Déjà sollicités par le poids de son corps, qui pendu forme un arc de cercle, ses membres et ses articulations sont douloureux. Elle a du mal à supporter son martyr, les larmes coulent sur ses joues et ses dents cherchent à s’enfoncer dans la boule/bâillon.
Elle est soulagée quand ses bourreaux s’arrêtent et que son ventre touche de nouveau le sol, débarrassée de la branche de transport on l’attache différemment.
Les hommes s’accordent une pause assis sur des rochers pendant que Manon est allongée sur le ventre les bras tirés en arrière, les jambes pliées, ses poignets et ses chevilles sont attachés ensemble.
Avant de repartir Mathias a une exigence.
– nous allons bientôt retrouver nos véhicules, avant que Jordan ne la ramène du côté de la gare chacun va faire ce qu’il veut avec la putain. Elle peut faire ça pour nous remercier de l’avoir promenée et pour nous dire au revoir –
C’est Jordan qui répond pour les autres.
– excellente idée. David c’est toi qui a voulu l’attacher comme ça, c’est à toi de la libérer pour qu’elle puisse s’occuper de la bite de ceux qui veulent une pipe, moi personnellement je préfère l’enculer –
La bouche libérée et les mains détachées, Manon passe une main sur son visage pour essuyer grossièrement la bave qui y a coulé à cause du bâillon.
Restant silencieuse comme d’habitude elle sait qu’elle va devoir supporter la mauvaise odeur des corps des quatre hommes qui ne se sont pratiquement pas lavés pendant ces presque trois jours de randonnées. Elle s’approche d e celui qui assis sur le sol est le plus proche d’elle et se met immédiatement au travail.
A genoux elle caresse et masturbe une première queue qui ne bande pas correctement avant de la lécher puis de la sucer. Pendant qu’elle fait une fellation des mains écartent ses fesses puis un pénis glisse dans la raie avant de se positionner contre l’anus, des doigts s’agrippent à ses cuisses pendant qu’elle sent le membre pénétrer dans son corps.
Les coups de reins de celui qui la sodomise font bouger le corps de la putain d’arrière en avant ce qui l’aide car elle fait aller et venir ses lèvres sur la queue qu’elle suce sans pratiquement faire d’efforts.
Sa gorge est arrosée de sperme, elle déglutit et avale sans laisser la verge sortir de sa bouche attendant que son fondement
reçoive son lot de semence et soit libéré du membre.
Une fois que ses orifices sont disponibles Manon se déplace à genoux et prend la queue d’un autre homme dans sa bouche et la suce.
Pendant ce temps un autre quidam se met à genoux derrière elle, il introduit sa queue dans la chatte et donne des coups de reins pour la faire aller et venir pendant un petit moment avant de la laisser sortir et de l’enfoncer sans difficultés dans l’anus déjà ouvert et lubrifié par la précédente pénétration.
De nouveau elle se fait défoncer le cul pendant qu’elle fait une fellation ne patientant pas très longtemps avant que sa gorge et ses intestins soient arrosés par des jets de sperme.
Chacun des hommes a éjaculé une Travesti tuzla fois, apparemment ils veulent plus.
Conscients que pour eux c’est la dernière occasion de se vider au maximum les bourses et voulant rentabiliser au mieux l’investissement qu’ils ont fait en la louant à un de ses souteneurs les quatre hommes discutent de la suite et donc aussi de de la fin de cette dernière relation sexuelle.
Mathias suggère que pour une fois, et bien que les conditions ne soient pas idéales, la putain soit pénétrée par plusieurs bites en même temps.
Franck s’allonge dans l’herbe, il ordonne à Manon de se mettre sur lui et de faire pénétrer la queue dans sa grotte puis Jordan se positionne à genoux derrière elle et après avoir cherché à placer sa verge contre l’anus. Quand il y parvient enfin il pousse avec le poids de son corps pour l’enfoncer dans le cul de sa victime.
Pendant ce temps les deux compères qui attendent leur tour se mettent côte à côte et assis devant la prostituée, en se contorsionnant elle peut atteindre leur sexe, passant de l’un à l’autre elle lèche ou suce pendant que les queues vont et viennent en même temps dans sa chatte et son fondement avec des mouvements pas bien coordonnés.
Elle commence à y prendre du plaisir quand un premier se soulage dans son vagin puis l’autre dans son cul.
Une fois qu’ils se sont soulagés dans le corps de Manon, Franck et Jordan laissent leur place à David et Mathias, la grotte et le fondement de la putain se font de nouveau défoncer en même temps.
Les sensations agréables montent dans son ventre pendant que ses orifices se font défoncer mais heureusement pour elle la double pénétration ne dure pas assez longtemps pour l’amener à l’orgasme, les deux hommes qui ne cherchent pas à faire durer le plaisir jouissent dans son corps à peu de temps d’intervalle.
Jordan met fin à la récréation.
– les amis, j’aurais bien aimé m’amuser plus longtemps avec la putain mais j’ai une chose à faire en début d’après-midi et en prenant le temps de déjeuner puis de faire la route cela va être juste alors il nous faut partir.
– dommage! on passait du bon temps avec elle –
Le sperme s’échappe du vagin et du cul de Manon pendant que debout ses mains sont attachées dans la dos puis tenue en laisse par un homme qui tient la corde, dont une extrémité est toujours nouée à l’anneau du collier qui n’a jamais quitté son cou, elle ne peut que suivre quand les randonneurs reprennent leur marche adoptant une allure soutenue.
Il est près de 11h quand les quatre randonneurs et Manon toujours encordée sortent de la forêt et arrivent sur le parking où leurs voitures sont garées.
Manon comprend que le parcours de la randonnée consistait en une longue boucle qui les a fait marcher pendant presque trois jours ce qui a contribué à bien la fatiguer, s’ajoutant à tout ce qui s’est passé sur le plan sexuel et la façon dont elle a été traitée.
La putain est délestée de son sac à dos, on libère ses chevilles et ses poignets des bracelets en cuir et on lui retire le bâillon.
Jordan lui tend ses vêtements de prostituée.
– habilles toi, je vais te ramener là où je t’avais prise en charge. Avec ta dégaine qui me fait honte je ne veux pas être vu avec toi donc tu descendras rapidement de la voiture pour que je puisse vite repartir.
– bien monsieur –
Il ouvre le coffre et restant muette Manon qui a rapidement enfilé des sous-vêtements puis le maillot et la très mini jupe sans chausser ses escarpins à talons hauts qu’elle tient à la main, grimpe dans le coffre et se recroqueville pour qu’il puisse le refermer. Elle entend les hommes parler puis la voiture démarre et elle est ballottée pendant que le véhicule roule.
La voiture stoppe, le conducteur en sort et ouvre le coffre.
– descends vite, il y a du monde dans la rue et pour ma réputation je préfère ne pas être vu en compagnie d’une prostituée –
Manon obéit, une fois qu’elle se retrouve sur le trottoir dans une rue adjacente à la gare l’homme referme rapidement le coffre. Il remonte dans l’auto puis démarre sans dire un mot de plus et sans se préoccuper de la putain qui chausse ses escarpins puis se dirige vers la gare où elle doit récupérer sa gabardine qu’elle a laissée dans une consigne.
Après avoir enfilé le vêtement et ne craignant plus le regard des passants elle repart vers son domicile.
Pendant que Manon rentre chez elle à pied le portable qui est dans son sac à main sonne, sachant que ce ne peut être que la DRH où le directeur commercial, donc un de ses deux proxénètes qui appelle, elle prend la communication.
– alors la putain ton séjour a été vivifiant –
– oui monsieur –
– je vais te donner ton emploi du temps: demain matin à 9 heures à l’hôtel dans la chambre habituelle puis si je ne te rappelle pas tu iras tapiner à l’endroit habituel –
– bien monsieur et pour aujourd’hui –
– rien de spécial, va faire des passes au bord de la route il faut bien que tu nous fasses gagner un peu d’argent, ce que tu as fait ce weekend n’a pas été d’un grand rapport –
– monsieur c’est vous qui avez fixé le prix à payer aux quatre adolescents et vous n’avez pas à vous plaindre de moi car en me prostituant soit votre société gagne des contrats soit vous empochez l’argent quand je tapine –
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