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Une femme piégée 1
Sinful wife 1
Coulybaca / Lord John Thomas
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Droits d’auteur 2005.
Si vous publiez cette histoire, veuillez noter le nom de l’auteur original.
Vous pouvez poster cette histoire sur des sites non- commerciaux, ou dans la partie libre des sites commerciaux.
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Chapitre1
Nous étions au jeudi matin, le quatrième jour de ma semaine de vacances, une petite équipe de maçons nous travaillait dans notre garage, je m’affairais dans la maison. Pour l’instant je me trouvais dans la chambre des enfants, je ramassais leur linge sale, lorsque j’entendis le patron de l’équipe m’appeler au rez-de-chaussée.
– Madame Holmund… Madame Holmund, pouvez-vous me consacrer quelques instants?
– J’arrive…
Je descendais l’escalier pour gagner mon petit bureau où était installé mon P.C. le patron des l’équipe de maçons était venu me demander, quelques minutes plus tôt s’il pouvait utiliser mon ordinateur, pour rechercher un grossiste pouvant lui fournir le matériel nécessaire aux travaux du garage.
Je lui avais allumé mon P.C puis je l’avais abandonné à ses recherches. Comme j’arrivais au bas des escaliers, je présumais, que comme tous les manuels, il était imperméable aux subtilités de l’informatique et de ce fait requérait mon aide.
Aussi en toute confiance, prête à expose mes talents en la matière, je pénétrais dans mon bureau. Toute mon assurance fondit en un instant alors que je regardais ce qui s’affichait sur l’écran.
– Que faites vous avec ceci?
Je restais figée, le sang ayant déserté mon visage…
– Eh bien… Vous n’avez rien à me dire? Rien à me dire au sujet de ces mails! Je parie que monsieur Holmund ignore tout de cela!
– Je faisais de mon mieux pour conserver mon self-control…
– Vous n’avez pas à fouiller mes dossiers en rentrant dans mes archives privées!
– C’est d’accord… Puisque tu ne veux pas me répondre et me menacer, je dois te dire que…Que j’ai fait plusieurs copies de ces mails, et je vais m’assurer que ton mari apprenne quelle salope il a épousé!
– Non pas ça! Vous ne pouvez pas…
– Bien sur que si je le peux, penses-tu vraiment qu’il s’agisse d’une menace en l’air!
– Je vous en prie… Je ne lui ai pas été infidèle… Il ne s’agit que de courriers échangés sur le web…
– Je ne crois pas que cette explication lui suffirait! …
– S’il vous plait… je vous en supplie… Ne lui dites rien!
– Si je me tiens pénard, que feras-tu pour me remercier?
– Que voulez-vous dire?
– Tu sais très bien ce que je veux dire… Je veux te baiser! …
– Non… Vous ne pouvez pas me demander cela… Je vous en prie… Je n’ai jamais ne serait-ce qu’embrassait un autre que mon mari depuis nos épousailles!
– Quel innocent petit ange… Quelles sont les histoires que tu préfères?
Je suppose qu’à ce stade, il est nécessaire, que j’explique ce que cet homme avait déniché sur mon P.C, et dans quelle situation sa découverte me plongeait.
Je m’appelle Camilla Holmund et je suis mariée à Göran, nous avons deux merveilleux enfants Helle 3 ans et Björn 6.
J’ai 32 ans et je me suis comportée comme dépravée, Mon Göran est très doux et il prend soin des enfants et de moi-même avec beaucoup de tendresse.
Je l’aime profondément, je sais ce que vous pensez, si je l’aime tant il ne devrait pas y avoir de problèmes.
En vérité, je n’ai jamais trompé Göran, et je ne le tromperai jamais, même si le plus séduisant des hommes me donnait rendez-vous! … Cependant ma personnalité abrite un coté sombre et, comme lady Chatterley, je ne pense pas que Dieu m’ait doté de ce coté lascif sans raison.
Aussi un jour que je trainais sur le web, ai-je recherché des sites concernant le sexe.
Comme vous pouvez l’imaginer j’ai été submergée de sites à visiter. Une fois que j’en eus exploré une bonne dizaine, je n’avais trouvé que des photos et des vidéos extrêmement crues.
Je commençais à penser que ces sites de cul ne répondaient pas à mes attentes.
En fait je n’avais aucune idée de ce que je recherchais, des choses indéfinissables. Ma vie amoureuse avec Göran était si sécurisée, si prévisible, je pensais qu’il devait exister quelque chose d’autre.
C’est alors qu’en consultant le résultat de mes recherches je dénichais un site gratuit qui ne nécessitait pas d’inscription préalable et offrait des histoires pour adultes.
Je n’avais aucune idée de ce que j’allais découvrir, mais lorsque je l’ouvris je réalisais que le matériel qu’il présentait était hautement jouissif! …
Les quelques semaines qui suivirent je téléchargeais des histoires que je lisais avec grand plaisir, certaines étaient très hard incluant des scènes de viols, de bondage et d’incestes. Il y avait même des histoires de bestialité où des femmes avaient des rapports sexuels avec des animaux, mais cette idée me révulsait, aussi les évitais-je.
La lecture des autres histoires m’échauffait Kadıköy travesti terriblement les sens, à chaque fois des flots de cyprine inondaient ma chagatte…
J’étais maintenant avide de lire ces histoires, elles relataient en majorité des fantasmes avec parfois un fond d’histoire vraie, mais souvent elles n’étaient que prétexte à décrire des rapports sexuels hautement érotisés.
C’est alors que je lus une histoire qui semblait bien innocente, seul le fait que cette histoire soit postée par une femme laissait augurer un développement nettement plus pornographique, visiblement quelque chose de très sombre allait arriver à la femme qui était le personnage central de ce récit.
Sans entrer dans les détails, cette innocente jeune femme, cette ménagère des plus classiques, était piégée dans différentes situations, elle était obligée de tourner dans des films pornos, et de se faire partouser.
Si les autres histoires m’avait fait mouiller, cette dernière me faisait exulter. Je m’étais doigtée tout le temps de ma lecture, et l’histoire était longue.
Je ne me rappelle pas du nombre de fois que j’avais joui. Je lisais et relisais continuellement cette histoire pendant trois jours, à chaque fois les mêmes frissons parcouraient ma colonne vertébrale, je m’imaginais à la place du personnage principal.
Un jour enfin j’eus le courage d’envoyer un mail à l’auteur, il avait laissé ses coordonnées en fin d’histoire, demandant aux femmes d’Angleterre d’envoyer leurs commentaires. Je ne l’ai pas encore mentionné, mais je suis suédoise et fière de l’être, ce qui ne m’empêcha pas de lui envoyer un message.
De ce jour, j’attendis et attendis sa réponse. Jour après jour, je me ruais sur mon P.C voir si j’avais une réponse. Le quatrième jour, j’avais fait quelques courses sur le chemin du retour à la maison, et Göran était rentré avant moi.
Je pensais alors que je ne devais pas prendre le risque de consulter mon P.C en sa présence, de toute manière je subodorais qu’il ne m’avait pas encore répondu. Et même s’il l’avait fait, que pourrait-il me dire de vraiment intéressant! …
Aussi n’est ce que le lendemain matin, une fois Göran parti au boulot, les enfants ayant déjeuné que j’ouvrais ma boite à message. Il avait répondu à mon message.
Il s’agissait d’une réponse fort courtoise, pas vraiment personnelle, elle me soumettait une liste d’histoires qu’elle avait écrite, et m’indiquait sur quels sites les trouve.
Une fois de plus je n’entrerai pas dans les détails, mais comme je ne parvenais pas à trouver ces histoires, je me permis de lui envoyer un nouveau mail, et elle m’envoya gentiment une histoire complète En fait je reçus trois mails, contenant chacun une partie de l’histoire.
Je commençais lire l’histoire, et cette fois encore une fois, je m’imaginais à la place du personnage central.
Cette femme se faisait violer, mais sans violence juste en se servant de persuasion et en profitant de circonstances.
Puis le récit progressait il prenait une toute autre dimension.
Je disais qu’auparavant l’idée de rapports sexuels avec des animaux me soulevait l’estomac, mais en maintenant que je lisais cette histoire, dans mon esprit j’étais cette fille et après m’être fait partouser mes suborneurs m’obligeaient à baiser avec des chiens!
Mais de façon fort surprenante, cela ne fit que m’exciter follement. Aussi je continuais ma lecture, il s’agissait surtout de rapports avec de chiens, mais aussi… Avec des chevaux! Et à ma grande honte, j’aimais chaque propos de ce récit, je ne pouvais pas me passer de leur lecture.
C’est ce qui nous avait amené à ma situation actuelle. Le fouineur avait déniché ces histoires sur mon P.C, puis il avait lu mes messages et les réponses de l’auteur.
Bien sur j’avais déjà eu honte de mon comportement auparavant, mais je savais ce que je faisais!
Et voila que cet horrible bâtard savait tout, j’étais très humiliée… Mais si mon Göran venait à découvrir mes lectures malsaines, je me suiciderai! Je ne pourrai plus jamais le regarder droit dans les yeux…
Mais revenons à mon problème.
– Même les petits anges ont leur face cachée… Que penses-tu de ces histoires que tu lis avec passion?
– Rien… je les lis avec mon mari!
– Tu n’es qu’une sale menteuse! Tu dis toi-même dans tes messages que ton mari ne sait absolument pas que te régales de telles merdes…
– Mais ce ne sont que des histoires!
– C’est bon… On va bien voir… Je vais en imprimer une et tu me la liras!
– Si je lis une de ces histoires, me promettez-vous de ne rien dire à Göran?
– Peut-être bien, Voyons un peu si ces récits autant que toi!
Il se dirigea immédiatement vers l’imprimante, et imprima le texte page par page, avant même d’avoir terminé il se saisit d’une liasse de feuilles et me les tendit.
– Allez viens ici… Assois-toi, je me tiendrai dans ton dos…
Il quitta le siège de l’ordinateur et se posta derrière moi. Je ne savais pas si je serai capable de lire, Kadıköy travestileri à voix haute, les termes crus de cette histoire, mais je savais que je devais le faire pour éviter que mon bien-aimé Göran apprenne que je n’étais qu’une chatte en rut.
Comme je commençais la lecture du texte, il posa ses mains sur ma poitrine et empauma mes nichons. Cela provoqua de violents élancements dans ma chatoune embrasée, mes mamelons dardèrent tout de go. Je cessais ma lecture.
– S’il vous plait non… Je n’aime pas que vous me touchiez ainsi…
– Je me fous de ce que tu aimes… Tu as le choix… Et maintenant reprend ta lecture et sois contente que ne t’ai pas encore enlevé ta petite culotte!
Je repris ma lecture alors qu’il manipulait mes tétons du bout des doigts, le texte débouchait maintenant sur la première séquence sexuelle, je sentais ma cyprine inonder la fentine.
La tendre manipulation de mes tétons engendraient une myriade de démangeaisons dans mon estomac, non seulement mon estomac frémissait mais aussi tout mon corps! Et plus particulièrement les parties les plus intimes de ma féminité.
Il ouvrit alors mon corsage et glissa ses mains dans les bonnets de mon soutien-gorge.
Un invraisemblable frisson de plaisir naissait dans mes mamelons nus sous la caresse langoureuse de ses doigts.
– Je vous en prie pas ça…
– Reprends ta lecture!
Je recommençais ma lecture, mais j’étais sur le point de jouir, je ne parvenais pas à contrôler mes sens.
Puis alors que je lisais la scène où l’héroïne se faisait pénétrer pour la première fois, cela arriva. Je dus cesser ma lecture, je ne pouvais m’empêcher de m’arquer sur les hanches en frottant mes fesses sur mon siège.
– Bordel… Cela te fait donc autant d’effet! S’esclaffa le patron alors que je reprenais mon calme. Je m’abstins de répondre, me contentant de rougir, une vraie tomate! Il se tenait maintenant face à moi, sa grosse mentule bandée en main pointée sur mon visage.
– Et maintenant mon petit ange, es-tu prête à me sucer?
J’étais extrêmement humiliée par la perte de contrôle de mon corps, je savais qu’il ne se serait entièrement satisfait de ma prestation qu’une fois que sa grosse bite aurait vomi des flots de foutre dans ma gorge… Aussi ne me suis-je pas permis la moindre protestation, je me résignais à combler ses moindres désirs…
Même si cela ne pouvait pas être pire de mon point de vue, je me focalisais sur le fait que devais lui vider les couilles.
J’étais si dépravée, et comme de plus je ne contrôlais pas mes sens lorsque je faisais l’amour…
J’ouvris la bouche et enserrai de mes lèvres gonflées sa grosse mentule, ma chagatte pulsait follement. Je ne contrôlais déjà plus mes sens alors qu’il manipulait durement mes tétons dardés. Ce n’était pas des caresses auxquelles j’étais habituée, mon Göran était très classique dans ses initiatives.
Comme son gros chibre gonflait entre mes lèvres, je m’efforçais de l’absorber dans ma gorge. Je suçais âprement sa bite alors qu’il me torturait les miches, mon orgasme montait.
Lorsqu’il projeta son jus salé dans ma gorge, je tortillais follement des hanches en gémissant sourdement, je glissais au sol.
Johan se tenait debout devant moi me regardant fixement, sa grosse bite mollissant entre ses doigts.
Lorsque je repris une contenance ordinaire, je me relevais pour m’asseoir su une chaise. Debout dans le vestibule Johan fumait une cigarette.
– S’il vous plait, mon Göran n’aime pas que l’on fume dans la maison…
– Mais il veut bien que tu tailles des pipes à des inconnus! …
– Je vous en prie, il sentira la fumée à l’instant même ou il mettra le pied dans la maison…
– Ca a quand même l’avantage de dissimuler l’odeur de foutre provenant de la grosse tache sur la moquette!
Sur ces mots il baissa les yeux sur l’endroit où je me frottais les fesses il y a peu. A ma grande honte, une large tache de mouille souillait la moquette, un flot de cyprine avait du s’écouler de ma chatoune alors que j’orgasmais. Mes joues rougirent comme des tomates, une fois encore la honte me submergeait.
– Me promettez-vous de ne rien dire à Göran?
Il porta la main à sa poche et en sortit une liasse de feuillets imprimés.
– Tu as été vraiment gentille… Aussi je vais ne rien dire pour l’instant… Mais je garde ces feuilles je copierai toutes les autres demain quand nous reprendrons le boulot… Je parie que mes ouvriers voudront que tu prennes soin d’eux avant qu’on en ait terminé avec les travaux.
– Je vous en prie… J’ai fait ce que vous vouliez…
– Je le sais ma chérie… Et c’était drôlement bon… Mais comme je te le disais nous sommes encore là jusque demain soir, et chaque fois que je te reluque, mon excitation renaît… Je pense donc que tu me câlines à nouveau, c’était si bon!
Je me pris la tête entre les mains sans lui répondre. Il tourna les talons et m’abandonna à mes remords… Je gagnais la cuisine, m’emparais de mes outils Travesti kadıköy de nettoyage, retournais dans le bureau et récurais les traces de foutre et de cyprine entachant la moquette…
Je remarquais alors qu’il y en avait aussi sur la chaise du bureau, une fois que j’en eus terminé, je ramenais mon kit de nettoyage dans la cuisine… Je voyais le garage et les trois maçons, par la fenêtre de la cuisine.
Johan était le patron, il drivait deux ouvriers. Il avait environ 45 ans. Le plus vieux de ses ouvriers avait à peu prêt le même âge, il s’appelait Stenn. L’autre n’avait que 25 ans, il s’appelait Loather. Il s’exhibait toujours torse nu, arborant poitrine musclée. Il était bâti comme un bodybuilder, pas une seule once de graisse, il avait même des muscles dans des endroits que je ne soupçonnais même pas qu’il puisse y en avoir.
Alors que j’épiais ces hommes, ils firent une pause cigarette. Loather se contentait de la pause sans fumer. Je réalisais alors avec horreur que Johan devait leur révéler ce qu’il venait de faire avec moi… Je ne pouvais pas entendre ce qu’ils disaient, mais certains de leurs gestes et les expressions s’affichant sur les visages des deux ouvriers ne me laissaient aucun doute… La pensée qu’ils savaient maintenant quelle salope j’étais, la réaction de Stenn me terrifia.
Il venait vers la maison invitant Loather à se joindre à lui. Ils ne pouvaient vouloir qu’une chose! … Je tournais les talons et me précipitais vers les escaliers menant à l’étage, alors que je commençais mon ascension, je les entendis arriver dans le porche d’entrée.
– MADAME ERRICSON… MADAME ERRICSON OU ETES-VOUS?
C’était la voix de Stenn qui retentissait dans toute la maison. Je n’étais qu’à mi-chemin des escaliers, mais même si je réussissais à gagner ma chambre, que pourrai-je faire?
Ils me menaceraient de tout révéler à mon époux, aussi n’avais-je d’autre option que de satisfaire leurs appétits lubriques pour les amener à se taire…
Je restais figée à mi-escalier, je me retournais pour leur faire face alors qu’ils pénétraient dans le hall.
– Ah, vous êtes là! Ca fait un moment que vous appelle… Vous ne me répondiez pas…
– Je voulais paraître aussi peu concernée que possible.
– Oui… Y’a-t-il un problème?
Ils entreprirent de monter les escaliers pour me rejoindre.
– Non, on veut juste que tu t’occupes de nous comme tu l’as fait pour Johan….
Nous nous tenions face à face à deux marches de distance, mais comme ils étaient nettement plus grand que moi, nous visages étaient au même niveau.
– C’est bon… Si je vous suce tous les deux, vous me jurez de ne rien dire à mon mari?
– Nous n’avons rien à lui dire, n’est ce pas Loather…
– C’est sur, si tu me vides les couilles, je me serai muet comme une carpe…
– Bon puisqu’on est d’accord, tournez donc les talons et descendons au rez-de-chaussée…
– Il n’en est pas question ma petite dame! … C’est nous qui te donnons des ordres dorénavant… Et moi je te dis de tourner les talons et de te rendre dans ta chambre conjugale…
– Non, Me révoltais-je brusquement
– Je veux bien m’occuper de vous, mais pas dans la chambre que je partage avec mon mari! …
– Tu n’es qu’une stupide petite idiote… Tu n’as pas bien compris… Je t’ai dit que c’est nous qui donnons les ordres! Et maintenant grimpe dans ta chambre avant que je t’empoigne pour t’y emmener…
La colère et les menaces contenues dans la voix de Stenn me terrorisa, mon esprit de révolte s’effondra, je me transformais immédiatement en esclave soumise.
Je faisais demi-tour et je grimpais les dernières marches, une main se glissa subrepticement entre mes jambes…
Mais j’en avais marre de ce sentiment de culpabilité, si je ne me grouillais de graver ces photos sur les CD de Johan, je risquais que l’un de mes suborneurs révèle mon comportement à Göran.
– Je vous en prie… Pas ça…
La main continua implacablement à tracer son chemin, et avant que nous soyons arrivés au sommet de l’escalier, elle avait atteint son but.
– Tu peux supplier autant que tu le veux ma petite dame… Mais si tu n’écartes pas tes cuisses pour m’offrir un excellent accès à ta cramouille, je te le ferai regretter… Je te promets que tu n’aimeras pas la méthode que j’emploierai… Et maintenant écarte-tes foutues cuisses!
J’ouvris instantanément mes cuisses, et son autre main sur ma croupe je repris le chemin de ma chambre, je marchais en canard à cause de cette main qui me mignotait l’entrecuisse.
Il avait maintenant inséré deux doigts dans ma chatte… Ma moule était encore trempée suite à mon intermède avec Johan, aussi n’avait-il eu aucun mal à sonder mon intimité.
Ce rude traitement, quoiqu’odieux, affolait mes hormones. Je détestais tout ce qu’ils me faisaient endurer. Leurs demandes lubriques, la violation de ma chambre conjugale, ces doigts qui me fouillaient en profondeur.
Mais si je haïssais leurs gestes, je ne pouvais empêcher mon corps de répondre à ces assauts comme le ferait celui d’une quelconque salope.
A chaque pas, je crispais mes sphincters sur ses doigts. Nous sommes arrivés rapidement le long du lit, je dus enlacer mon tourmenteur pour m’éviter de tomber alors que je tortillais des hanches sous ses caresses.
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